Depuis un certains temps, plusieurs secteurs vitaux du pays vivent une grande paralysie, ces derniers jours. En effet, cette grogne touche entre autres, les personnels de la santé, de l’éducation et de la justice.
Les magistrats on reconduit leur grève de 7 jours (du 9 au 16 janvier) en une grève illimitée à partir de ce mercredi 18 janvier, après l’échec des négociations avec les autorités. Cette décision est l’œuvre de deux syndicats de magistrats, à savoir le Syndicat libre de la magistrature (Sylima) et le Syndicat autonome de la magistrature (SAM), qui ont décidé de faire désormais cause commune.
Ces organisations réclament une meilleure condition de vie et de travail. Elles se disent déterminées à aller jusqu’au bout de leur logique afin d’obtenir gain de cause.
Dans les régions du Nord, ce sont surtout les enseignants du secondaire qui ont brandi les muscles en refusant d’organiser les évaluations. Ils demandent notamment des primes de risque.
Un autre secteur à aller en grève c’est celui de la santé, notamment les travailleurs sociaux. Un mouvement qui concerne notamment le personnel contractuel. Pour tous ces secteurs, le gouvernement a promis d’entamer dans les tout-prochains jours des discussions afin qu’une solution soit trouvée. D’ores et déjà, il y a une urgence d’agir puisque ces secteurs sont vitaux pour le pays.