De sources dignes de foi, après l’attaque qui a visé le campement Kangaba de Bamako, le dimanche dernier, certains manquent toujours à l’appel. Ainsi, une employée de l’ONG Solidarités international qui se trouvait sur les lieux n’est toujours pas réapparue.
C’est grâce à son fils à bas âge qui fait partie des rescapés que la dame a été identifiée.
Les enquêtes se poursuivent pour tenter de comprendre les circonstances de cette attaque qui, selon des sources officielles a entrainé la mort de 9 personnes dont 4 terroristes. Alors que le groupe « Nosrat al-Islam wal-Mouslimin « qui a revendiqué l’attaque reconnait n’avoir perdu que trois éléments.
Selon le ministre de la Sécurité, tous les éléments trouvés sur place sont en train d’être analysés.