Les faits se sont déroulés, samedi 11 novembre dernier, dans le centre du pays. Des militaires ont découvert un engin explosif au passage de leur convoi sur un pont.
Au cours de l’opération de déminage, des assaillants soupçonnés d’être des proches d’Amadou Koufa ont ouvert le feu sur les militaires blessant l’un d’entre eux.
Aussitôt après, ils ont disparu dans la nature. Des opérations de ce genre relevant plutôt du harcèlement se multiplient depuis un certain temps contre les forces loyales. Une situation favorisée par le grand retard pris dans la mise en œuvre de l’accord qui rend difficilement identifiable les combattants des mouvements, les éléments des groupes jihadistes et les autres malfaiteurs qui pullulent dans la zone.